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Echinacée 

et rhume

Magnésium, 

surpoids et hypertension

Régime méditerranéen vert 

et risque cardiométabolique

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Au sommaire du numéro 26 du magazine Nature Sciences Santé

  • La passiflore,
    De l’usage traditionnel à la recherche scientifique
    Elle est traditionnellement utilisée pour soulager les symptômes légers de stress et favoriser le sommeil. Mais elle a bien d’autres atouts que la recherche scientifique commence à dévoiler.

  • L’endométriose
    L’apport de la micronutrition et de la phytothérapie
    Un déséquilibre hormonal, une inflammation chronique, un stress oxydant… comptent parmi les facteurs impliqués dans l’apparition et le développement de l’endométriose. Des facteurs sur lesquels des micronutriments, des plantes et extraits de plantes peuvent agir et, ainsi, dans certains cas, aider à soulager des symptômes de la maladie.

  • Questions au Docteur Bérengère Arnal,
    Endométriose, la prise en charge naturelle doit être globale
    Le Dr Bérengère Arnal nous parle des traitements naturels qui aident à soulager les femmes atteintes d’endométriose. Ils conjuguent modification de l’alimentation, micronutrition, phytothérapie, aromathérapie, homéopathie et, dans certains cas, ostéopathie… Sans faire de miracles, ils peuvent cependant calmer les phénomènes et apporter des améliorations notables dans la qualité de vie de ces femmes en souffrance.

  • Probiotiques
    Sportifs et infections respiratoires
    Depuis quelques années, la recherche s’intéresse à l’effet des probiotiques chez les athlètes de haut niveau et à déterminer s’ils pourraient aider à contrer les conséquences des exercices intenses sur le système immunitaire.

Bonne lecture


Brigitte Karleskind, Rédactrice en chef

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Echinacée et rhume

Echinacée

et rhume

Selon une étude réalisée dans des conditions de vie réelle, la prise d’un extrait d’Echinacée (Echinacea purpurea) réduirait, chez des enfants, la durée des épisodes de rhume.

Les enfants sont souvent sujets, pendant l’hiver, à des rhumes à répétition. Ils peuvent en avoir chaque années 6 à 12 épisodes contre 2 à 4 pour des adultes. Le rhume est généralement une infection bénigne des fosses nasales et de la gorge dont les symptômes disparaissent d’eux-mêmes en une semaine environ. Mais les enfants ont également tendance à développer des symptômes plus sévères que les adultes et ont un taux de complication plus élevé. En lui-même, le rhume n’entraîne pas de complications mais ils fragilisent les muqueuses qui peuvent, dans un second temps, être colonisées par des bactéries.

Près de 70 % des absences à l’école et 85 % des épisodes d’exacerbation de l’asthme sont reliés à de simples rhumes. Chez les enfants, les symptômes peuvent par ailleurs durer plus longtemps que chez les adultes.

Les traitements classiques reposent sur des antipyrétiques, des décongestionnant et des antitussifs. Ils sont supposés améliorer rapidement le confort du malade mais ils n’ont cependant pas démontré d’effet sur la durée de la maladie.

L’échinacée pourpre, Echinacea purpura, est une plante originaire d’Amérique du nord où les indigènes l’utilisaient traditionnellement pour soigner un large éventail de problèmes de santé et essentiellement ceux dans lesquels le fonctionnement du système immunitaireSon rôle est de protéger l’organisme des agresseurs extérieurs et internes : virus, bactéries... était impliqué. La plupart des recherches scientifiques sur les propriétés de l’échinacée ont été réalisées en Allemagne où les préparations à base de cette plante sont devenues de plus en plus populaires au début des années 1900. L’échinacée est largement utilisée aujourd’hui pour prévenir et soigner les infections des voies respiratoires supérieures sans complication telles que le rhume.

Une étude a évalué l’innocuité et les effets d’une préparation à base d’échinacée pourpre, formulée pour être utilisée chez des enfants âgés de moins de 12 ans. Cette préparation contenait un extrait hydroalcoolique de fleurs et racines fraîches de la plante.

Soixante-dix-huit enfants âgés de 4 à 12 ans ont été inclus dans cette étude ouverte, multicentrique. Ils ont été répartis en deux groupes. Le traitement consistait en 1200 ou 2000 mg d’extrait d’échinacée à prendre pendant dix jours en cas d’épisode de rhume et dès les premiers signes.

L’extrait d’échinacée a été utilisé pour traiter 130 épisodes de rhume chez 68 enfants. Le traitement a été évalué par les médecins, à plus de 96 % comme étant très bien toléré. La dose la plus élevée de traitement a réduit la durée de l’épisode de 1,7 jours par rapport à la plus faible. Pendant la durée de l’étude, les besoins en traitements antibiotiques ont été très faibles.

Ces résultats devraient cependant être confirmés par des études cliniques suivant un protocole rigoureux et incluant un plus vaste échantillon de patients pédiatriques.

Weishaupt R et al., Safety and dose-dependent effects of Echinacea for the treatment of acute cold episodes in children : a multicenter, randomised, open-label clinical trial.  Children 2020, 7, 292.

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Magnésium, surpoids et hypertension

Magnésium,

surpoids et hypertension

Une alimentation fournissant des apports en magnésium inférieurs à 200 mg par jour a été fortement associée, dans une population méditerranéenne relativement jeune, à un risque plus élevé d’hypertension.

L’hypertension est le plus important facteur de risque modifiable de maladies cardiovasculaires, de maladies rénales chroniques et de déclin cognitif. Le magnésium est impliqué dans de multiples processus cellulaires fondamentaux. Il intervient notamment dans la régulation de la pression sanguine à travers différents mécanismes incluant, entre autres, la libération des catécholaminesLes principales catécholamines sont la dopamine, l’adrénaline et la noradrénaline. Leur synthè..., la rigidité et le remodelage vasculaires, le fonctionnement endothélial, le système rénine angiotensine aldostérone ou la modulation du tonus et de la réactivité vasculaires.

Le magnésium est abondamment présent dans les fruits à coque, les légumes à feuilles vertes ou les céréales complètes. Les apports alimentaires en magnésium sont insuffisants dans une large proportion des populations américaines et européennes qui font une place trop importante aux aliments transformés dans leur alimentation quotidienne.

Une étude montre ainsi qu’aux Etats-Unis, plus de 75 % des femmes auraient des apports en magnésium insuffisants. Ces données concordent avec celles provenant d’autres pays. Ainsi, en Allemagne ces apports sont de 200 mg pour les femmes et de 250 mg pour les hommes. En France, 23 % des femmes et 18 % des hommes ont des apports insuffisants en magnésium. Les apports quotidiens recommandés en magnésium pour se situent, pour la plupart des populations, entre 300 et 420 mg par jour.

Une étude a évalué l’association entre les apports en magnésium et le risque d’hypertension dans une population méditerranéenne obèse ou en surpoids. L’obésité et le surpoids constituent, en effet, des facteurs de risque d’hypertension.

Les chercheurs ont évalué la consommation alimentaire de magnésium de 14 057 participants à l’étude de cohorte SUN (Seguimiento Universidad de Navarra). Au début de l’étude, les participants ne présentaient pas d’hypertension. On leurs a demandé de remplir des questionnaires de fréquence de consommation d’aliments. Au cours du suivi d’une durée moyenne de 9,6 ans, 1406 cas d’hypertension ont été diagnostiqués.

L’analyse des données montre que, dans cette population, le risque d’hypertension était associé à une faible consommation de magnésium – inférieure à 200 mg par jour. Ce risque était encore renforcé chez les personnes obèses ou en surpoids. L’adhésion à un régime méditerranéen ne modifiait pas ce lien entre magnésium et hypertension. Ces résultats soulignent l’importance d’encourager la consommation d’aliments tels que les légumes à feuilles vertes, les fruits à coque, les céréales complètes qui sont tous de riches sources de magnésium.

Dominguez LJ et al., Low dietary magnesium and overweight/obesity in a mediterranean population : a detrimental synergy for the development of hypertension. The Sun project. Nutrients, 2021 ; 13, 125.

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Régime méditerranéen vert et risque cardiométabolique

Régime méditerranéen vert

et risque cardiométabolique

Diminuer la consommation de viande tout en augmentant celle d’aliments riches en protéines végétales pourrait renforcer les effets métaboliques bénéfiques du régime méditerranéen et réduire davantage le risque cardiovasculaire.

Le régime méditerranéen est caractérisé par une consommation élevée d’aliments d’origine végétale (fruits, légumes fruits à coque et céréales) et d’huile d’olive associée à une consommation modérée de poisson et d’alcool ainsi qu’à un faible apport de viande rouge et transformée et de produits laitiers. Le régime méditerranéen a montré qu’il réduisait plus efficacement le risque cardiométabolique que l’alimentation pauvre en graisse précédemment recommandée.

Par ailleurs, il a été suggéré que réduire la consommation de protéines d’origine animale et les remplacer par des protéines de sources végétales pourraient réduire les risques cardiovasculaires.

Une étude a examiné les différents effets à long terme de trois interventions distinctes sur le style de vie. Elles comportaient notamment différentes augmentations progressives d’aliments d’origine végétale avec une diminution parallèle de la consommation de viande et de volaille.

Deux-cent quatre-vingt quatorze personnes, sédentaires, modérément obèses et âgées de 51 ans en moyenne ont pris part à cette étude. Elles ont été réparties en trois groupes et ont suivis pendant 18 mois trois régimes alimentaires différents, tous combinés à un programme d’activité physique.

Le premier a suivi des conseils pour une alimentation saine. Les deux autres un régime méditerranéen incluant 28 g par jour de fruits à coque et une réduction énergétique comparable. Le régime méditerranéen vert incluait, en plus, 3 à 4 tasses de thé vert quotidiennes et 100 g par jour de lentilles d’eau, une source de protéines végétales destinées à remplacer les protéines d’origine animale du dîner.

Les résultats après six mois, suggèrent que les deux régimes méditerranéens basses calories ont favorisé la perte de poids et ont eu des effets bénéfiques sur l’état métabolique des participants. Le régime méditerranéen vert, plus riche en protéines d’origine végétale et plus pauvre en viande et en volaille, a généré une diminution plus importante du tour de taille et une amélioration significative du risque cardiovasculaire avec une baisse de 4 % du cholestérol-LDL et de 20 % de protéine-C réactive.

Tsaban G et al., The effect of green Mediterranean diet on cardiometabolic risk ; a randomised controlled trial. BMJ Nov 2020. DOI : 10.1136/heartjnl-2020-317802.

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